mercredi 16 janvier 2013



Voici revenu le temps des barbares...Il serait temps qu'on tire des conclusions et qu'on arrête une folle politique commencée il  y a plus de 40 ans et que les socialistes  veulent amplifier encore. Il serait temps qu'on expulse les délinquants étrangers et qu'on revienne à cette double peine supprimée par Sarkozy.

Nous reprenons l'article de Novopress

Meurtre barbare à Angers : elle s’appelait Nicole Chatelain

16 janvier 2013
Meurtre barbare à Angers : elle s’appelait Nicole Chatelain
16/01/2013 – 16h00 ANGERS (NOVOpress) — Elle s’appelait Nicole Chatelain, âgée de 60 ans, elle est morte assassinée, égorgée devant son domicile, dans une rue fréquentée du centre ville d’Angers, samedi en fin de matinée alors qu’elle revenait du grand marché.
Son agresseur a aussitôt été arrêté, mais les policiers ont du faire usage de leurs armes pour l’arrêter. Il s’agit d’un ressortissant soudanais âgé d’à peine 30 ans, Samir Adam-Hassan (transformé en “Adam” dans une partie des journaux locaux…). Outre le couteau avec lequel il a égorgé sa victime, il était également porteur d’un marteau, d’un tournevis et d’une arme semi-automatique.
Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime connaissait son bourreau. Elle avait en effet travaillé jusqu’à sa retraite dans une association d’insertion qui œuvrait notamment auprès des demandeurs d’asile, particulièrement nombreux dans cette ville de l’Ouest qui paraissait encore, au début des années 2000, épargnée par une immigration massive. Cette commune tranquille de 150.000 habitants est en effet confrontée depuis 2009 à un afflux sans précédent de demandeurs d’asile. Elus et associations sont complètement dépassés. « Ils s’appellent Ahmed, Ali, Abdullah ou Mustapha. La plupart ont fui la région du Darfour, le Soudan, l’Erythrée ou la Somalie il y a quelques semaines, parfois des mois, et atterri ici. A Paris, reconnaissent-ils, on les a aiguillés vers Angers quand on ne leur a pas donné en main propre un plan de la ville et les numéros de téléphone nécessaires pour leur accueil. » (Aujourd’hui en France – 16 novembre 2009). La ville d’Angers est en effet considérée comme fortement attractive. « Ici, il existe une tradition d’accueil, des associations et des collectivités mobilisées »,explique Jean-François Fribault, directeur de l’abri de la Providence. Angers fait en effet partie de la trentaine de villes dotée d’une plateforme habilitée à domicilier des demandeurs d’asiles. 1.000 demandeurs d’asile sont recensés en 2010, 700 en 2011, parmi eux, de nombreux Somaliens, Éthiopiens et Érythréens. « Il existe un phénomène “affinitaire”, analyse le secrétaire général de la préfecture Alain Rousseau. Ce qui explique le regroupement de populations provenant de la Corne de l’Afrique. ». « Affinitaire » devant s’entendre comme la traduction politiquement correcte d’identitaire…
Cet afflux s’est accompli, du moins dans un premier temps, avec la bénédiction de la municipalité socialiste qui s’enorgueillit de sa tradition d’hospitalité et d’accueil. Mais les apprentis sorciers jouant avec le feu ont été rapidement dépassés, les services sociaux sont débordés par l’explosion des demandes à tel point qu’un appel sera lancé par le maire d’Angers à Claude Guéant, alors ministre de l’Intérieur, pour que les demandeurs d’asile soient mieux répartis dans les différentes villes de la région des Pays de la Loire. Parce que, s’inquiète un élu, « A Angers,cela commence à trop se voir »… Il est à noter, d’ailleurs que les quotidiens locaux Le Courrier de l’Ouest et Presse Océan ont tenté tant bien que mal de cacher l’origine ethnique du meurtrier, décrit dans les premières dépêches comme un « Angevin de 30 ans » (copies d’écran ci-dessous).
Meurtre barbare à Angers : elle s'appelait Nicole Chatelain
Ci-dessous, zoom en copie d’écran sur la deuxième phrase de l’article de Presse Océan :
Meurtre barbare à Angers : elle s’appelait Nicole Chatelain
Ce crime particulièrement horrible, qui s’est produit de plus en plein jour suscite légitimement l’émoi des angevins. Il n’est pas sans rappeler d’autres sordides faits divers qui ont frappé l’Anjou ces derniers mois : en juin dernier, c’est un père de famille tchétchène qui égorge sa femme, mère de quatre enfants. En septembre dernier c’est un autre ressortissant soudanais qui poignarde à douze reprises un autre soudanais dans la ville voisine de Cholet…
Nicole Chatelain, abusée par son bon cœur, œuvrait à l’accueil de ces populations. Que son agresseur l’ai assassiné parce qu’il la connaissait ou non, peu importe, Nicole Chatelain est d’abord victime d’une politique folle d’immigration qui laisse les frontières de notre pays grande ouverte à tous les déshérités de la Terre. Au nom d’une tradition totalement dévoyée d’hospitalité, cette politique d’immigration produit des masses d’individus déracinés, coupés de leur culture d’origine, éloignés de la terre de leurs ancêtres, débarquant dans des villes étrangères, sans aucun repère, sous un climat hostile et inconnu. Comment s’étonner dès lors que certains basculent dans la délinquance, voire la folie ?
Nicole Chatelain est morte égorgée à l’aube de sa retraite. Son meurtrier a été arrêté mais ceux qui ont aidé à sa venue et à son maintien sur le sol français, ceux qui par xénophilie ou ethnomasochisme concourent au Grand Remplacement de populations qui touche désormais également cette ville de l’Ouest, capitale de ce qui fut la douceur angevine, ceux-là courent toujours.
Crédit photo : capture d’écran courrierdelouest.fr et presseocean.fr

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