mercredi 24 avril 2013

 

Ce n'est rien...Pas la peine pour la "grande"  presse, et les chaînes de télévision à pensée unique obligatoire, aux ordres des laïcistes de combat (franc-maçonnerie) et du lobby homo, d'en parler. Ce ne sont que des chrétiens, et par ailleurs cela pourrait donner une mauvaise image de l'islam pour lequel les mosquées sont inaugurées en France par les élus du PS comme de la majeure partie  de la précédente majorité parlementaire.

 Lu sur l'Observatoire de la christianophobie:

"Une église attaquée à la roquette en Centrafrique : sept morts

Les événements dramatiques qui se déroulent en République Centrafricaine ne font pas la une de la große presse, d’où l’intérêt de cette information du Fil Rouge (Portes Ouvertes)…
« Deux roquettes se sont abattues sur le bâtiment de l’église et une autre a explosé dans la cour. Sept personnes ont été tuées et de nombreux enfants se trouvent parmi les blessés. Ils ont été rapidement acheminés à l’hôpital pour y être soignés » nous raconte Mbaye-Bondoi, pasteur de l’église évangélique victime de l’attentat.
Cette attaque s’inscrit dans un week-end de violence entre les troupes du Séléka, anciens rebelles aujourd’hui au pouvoir, et les habitants de Roy-Babé, un quartier de Bangui, la capitale de la Centrafrique.
L’église n’a probablement pas été touchée par hasard car depuis le début du conflit, en décembre 2012, les chrétiens sont particulièrement pris pour cible.
Depuis le soulèvement des rebelles et leur arrivée au pouvoir, de nombreuses maisons de chrétiens ont été pillées et détruites. Beaucoup d’églises ont aussi été prises pour cible.
La principale cathédrale de Bangui, les locaux de l’ONG Caritas (le Secours catholique) et de nombreuses communautés ont été attaqués par des hommes armés. « Nous vivons dans la peur » nous confie un prêtre catholique. « Les chefs du Séléka, aujourd’hui au pouvoir, devraient prendre des mesures pour protéger nos bâtiments. »
Après 3 mois de conflit, Michel Djotodia, le chef des rebelles du Séléka, a pris le pouvoir en mars 2013, chassant le président en place François Bozizé. Il est le premier musulman à devenir président de ce pays, et de nombreux chrétiens craignent une domination de l’islam car les rebelles parvenus au pouvoir sont majoritairement issus du nord musulman."

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire